Courtesy Artforum

Pieter SCHOOLWERTH

Né en 1970, il vit à New York.

Pieter Schoolwerth tente d’inverser la tendance à générer des images numériques, en produisant une série de peintures «en dernier ressort», dans lesquelles la matière même de la peinture réapparaît à la fin d’un effort multimédia complexe visant à produire un tableau figuratif. À la fin, la peinture a le dernier mot. Dans ses tableaux, les personnages et leurs ombres se chevauchent et se superposent, de manière à ce que l’unité de la scène originelle réelle soit tellement éclatée en plusieurs couches qu’elle ne puisse pas être complétement représentée. Ses oeuvres traduisent l’attention éclatée que nous portons à la réalité à l’ére des écrans et du numérique.

Après avoir obtenu son BFA du California Institute of the Arts en 1994, il a exposé dans le monde entier en galeries, notamment chez Greene Naftali, American Fine Arts Co., Elizabeth Dee et Miguel Abreu à New York, ou chez Capitain Pretzel, à Berlin. Son travail a fait partie d’expositions collectives au MoMA de New York, au Centre Pompidou à Paris, à l’ICA, à Boston et fait partie de la collection permanente du MoMA de San Francisco, du Denver Art Art Museum et du Phoenix Art Musuem. .
Entre 2003 et 2013, Schoolwerth a dirigé Wierd Records et la Wierd Party chez Home Sweet Home aux ERP de New York.

Miguel Abreu (New York)

Kraupa-Tuskany Ziedler (Berlin)

Son œuvre

Withdraw #8, 2017

Huile, acrylique et impression giclée sur toile

94,6 x 91,8 cm

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